« Après le fête, vient la défaite » dit-on
souvent au lendemain d’une nuit de fête et surtout pour symboliser la
« gueule-de-bois » que l’on présente.
Aussi, appliquons-nous
ce dicton à la grande victoire du gouvernement du Président Français François
Hollande qui a « réussi » à imposer le mariage et l’adoption aux
couples homosexuels à une société française qui ne demandait que des solutions
pour sortir de la crise économique, des solutions au problème du chômage…
Au lieu d’apporter des réponses aux aspirations profondes
de ce peuple, nous avons l’amère surprise de constater que l’on en a créé de
tout nouveau.
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En effet, le mariage pour tous qui avait comme objectif
de créer de plus nombreuses familles dites « arc-en-ciel » ou non et
de permettre aux enfants d’être accueillis dans des « foyers stables »
composés de deux hommes ou de deux femmes ou d’un homme et une femme, et même d’un
homme vivant seul ou d’une femme seule.
Ainsi donc, depuis l’entrée en vigueur de la loi du 17mai 2013, il nous est donné de constater une
exposition de mariage de personnes de même sexe dans les différentes communes
de France. 596 est le nombre de mariages homosexuels célébrés durant les trois
premiers mois de la promulgation de la loi Taubira, soit a peu près 1% du total
des mariages en France. A révélé une enquête réalisée auprès des 50 plus grandes communes de France et diffusée par France inter le mardi 27 août 2013. Les demandes de mariage entre homosexuels
se multiplient. Les maires sont alors obligés de les célébrer tous. Il n’y a
plus pour eux, la possibilité de faire jouer la clause de conscience. Le
Conseil constitutionnel en a décidé ainsi.
« Après le mariage, le divorce ! »
Incroyable. Un acte qui était synonyme de stabilité et fidélité, devient pour
ainsi dire un vulgaire contrat qu’on rompt à la première incompréhension.
Allez-y comprendre quelque chose !
Selon France TV Info, un premier divorce entre un couple de personnes du même sexe s'apprête à être prononcé par le
Tribunal de grande instance de Paris en novembre. Ce fait malheureux donne
raison aux spécialistes qui ont affirmé qu’un tel mariage ne pourrait durer
dans le temps. « On ne construit pas un Bien sur le mensonge ! »